Et si le RUGBY protégeait 100% de ses joueurs ?

L’affaire « Nyanga – Dulin » vient semer un peu plus le doute dans l’esprit des amoureux du sport et du rugby. L’AFLD serait faillible et incompétente selon les autorités du rugby… Les joueurs sont pris dans la tourmente et doivent répondre devant les instances disciplinaires de leur contrôle positif…


Et si on passait à une étape constructive, bénéfique à tous ?

 

Premièrement, prendre conscience de la problématique

La principale problématique qui touche le rugby est la prise de compléments alimentaires et de produits nutritionnels. S’il est bien sûr contre-productif de diaboliser cette consommation, il convient de sécuriser les joueurs qui n’ont aucune intention de se doper. Nous recevons chaque mois beaucoup de questions de joueurs professionnels au sujet de la nature dopante de tel ou tel produit et la menace est très forte. Comme le montre le reportage ci-dessous, il est indispensable de mener des actions concrètes pour sécuriser les références : analyses, audits, stockage, suivi, référencement :

Reportage de France 3 sur le travail antidopage mené par SPORT Protect

 

Deuxièmement, prendre conscience que des outils existent pour sécuriser la consommation des joueurs

Depuis plusieurs années, tristement, nous recensons de manière non exhaustive les cas de sportifs connus qui auraient pu être évités grâce à nos solutions : le cycliste Sylvain Georges, le tennisman Marin Cilic, la joueuse de tennis Maria Sharapova, le footballeur Mamadou Sakho. Aujourd’hui, il s’agit de Yannick Nyanga et Brice Dulin…

 

Troisièmement, opérer une révolution et protéger 100% des licenciés

Grâce à un investissement conséquent en R&D, notre équipe a développé un dispositif unique au monde qui permet à chaque Fédération volontaire :

> de prendre le total contrôle de l’information qui se doit d’être véhiculée aux joueurs de rugby, des amateurs aux professionnels.

> d’éviter les cas de dopage par inadvertance tant en ce qui concerne le recours à des médicaments, des substances et des produits nutritionnels. Plus aucun joueur ne doit être dupe ou dupé par sa consommation quand il doit compléter son alimentation ou se soigner.

> de prendre le lead au niveau de la communication, de devancer les crises et ne plus dépendre des informations erronées diffusées par certaines systèmes archaïques.

Le dossier qui présente les détails de cette révolution a été envoyé à la nouvelle équipe dirigeante de la FFR.

Pour l’intégrité des joueurs qu’elle représente, espérons que la FFR saura saisir la balle au bond.
Nous sommes disponibles pour leur présenter en détail le fonctionnement et l’efficacité de ce système.

Dorian Martinez
CEO SPORT Protect

 

 

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