Un organisme antidopage. Pour contrôler.

Pourquoi faut-il contrôler les produits ?

Et pourquoi des marques s’engagent
Parce que les risques sont importants
L’article 2.1.1 du Code Mondial Antidopage précise qu’il incombe à chaque sportif de s’assurer qu’aucune substance interdite ne pénètre dans son organisme. Les sportifs sont responsables de toute substance interdite ou de ses métabolites ou marqueurs dont la présence est décelée dans leurs échantillons. Par conséquent, il n’est pas nécessaire de faire la preuve de l’intention, de la faute, de la négligence ou de l’usage conscient de la part du sportif pour établir une violation des règles antidopage en vertu de l’article 2.1. En clair, le sportif qui consomme un complément alimentaire engage sa totale responsabilité au regard de la législation antidopage mais aussi en ce qui concerne sa santé.
Parce que la menace est réelle
Différentes études montrent que 15 à 25% des compléments alimentaires contiennent des substances interdites, souvent non mentionnées sur l’emballage (Petroczi & al. «Mission Impossible ? Regulatory and enforcement issues to ensure safety of dietary supplements», Food and Chemical Toxicology, vol. 49 p°393-402, 2011).
Parce que la législation est complexe
La liste des interdictions est une liste de substances qui est très difficile à décrypter par les sportifs. A la lecture d’une notice, il n’est n’est pas évident du tout de s’assurer qu’aucune substance interdite ne figure dans la composition d’un produit…
Parce que les industriels ont besoin d'être accompagnés
Les industriels ont beaucoup de difficultés à comprendre la législation antidopage. D’une part, parce qu’elle évolue chaque année et d’autre part parce qu’elle ne mentionne pas des ingrédients mais des substances et des substances apparentées… Pour rajouter à la complexité, de nombreux ingrédients sont autorisés à la vente comme le citrus aurantium bien qu’ils contiennent une substance interdite : l’octopamine.
Parce que la transparence est bénéfique à tous
Chaque affaire de dopage qui concerne un complément alimentaire contaminé créé un peu plus l’amalgame et porte atteinte à l’ensemble des industriels alors que la plupart sont sérieux et n’ont pas l’intention de « doper à leur insu » leurs clients.
Parce que nous aimons le sport et les sportifs
Tout est dit 😉

Contrôles et prestations réalisées par SPORT Protect

6 points clés indispensables à une sécurisation maximale
Audit des sites de production
Les sites de production sont audités pour contrôler les process de fabrication et maîtriser les risques de contamination croisée.
Remise d'un rapport détaillé
Un rapport d’audit est délivré et précise si la référence est conforme à la norme antidopage NF V94-001 et au référentiel SPORT Protect.
Information des sportifs
Les sportifs repèrent les références conformes grâce au label apposé sur le packaging et au travers des applications.
Analyses antidopage
Suite à l’audit, un plan d’analyses antidopage adapté aux particularités des références est mis en place.
Stockage sécurisé
Pour chaque lot mis sur le marché, un échantillon scellé est stocké dans un enceinte sécurisée pendant 4 ans.
Suivi et traçabilité
Chaque référence labellisée SPORT Protect fait l’objet d’un contrôle régulier et d’un suivi permanent.

Vos références méritent d’être labellisées 
Contactez nous !

Facebook
Twitter
Instagram